DDouceur de vivre, aux Saintes
Douceur de vivre, aux Saintes.
Pendant une petite semaine, nous prenons plaisir à (re)découvrir les Saintes, et en
particulier Terre de Haut, l'île la plus fréquentée. Nous avions,
l'an passé, fait le tour en scooter, mais c'est encore à pied que
l'on apprécie le mieux les charmes de cet archipel.
Quelques randos un peu sportives ( Le Chameau, le morne Morel) nous permettent de découvrir
des paysages splendides.
Nos flaneries dans les rues du village nous conduisent au cœur de la vie quotidienne des
îliens . Le village est actif : petits commerçants, maisons en
rénovation, école, tout contribue à une vision dynamique de ce bourg.
Le soir, nous nous attardons à l'embarcadère... On se croirait à l'île d'Aix !
Les touristes patientent en dégustant la pâtisserie locale ( le
Tourment d'Amour, petite galette fourrée coco ou banane, ça tient
au corps!) ou en prenant un dernier verre au bistrot du port. Puis,
le bateau se remplit, les rues deviennent calmes et les boutiques
remballent...
En bref, quelques jours bien agréables. Prêts à repartir, nous différons encore d'une
journée, pour cause de BMS (mer dangereuse ), et nous quittons notre mouillage samedi matin.
Une navigation 2/3, 1/3.
Premier tiers correct, au près, du vent régulier, mais le courant et le vent nous font
dériver trop près de la côte Gudeloupéenne.
Deuxième tiers : galère ! Nous naviguons au moteur, vent et mer de face, ça
arrose et ça n'avance pas !
Troisième tiers : nous entrons dans le Petit Cul de Sac, à la voile, et nous prenons
plaisir à distancer un cata qui tente de s'accrocher à nous.
Nous arrivons dans la baie de Pointe à Pitre, où nous jetons l'ancre, entre l'îlet à
Cochons et le Banc des Couillons. ( ce sont les noms vrais!!!)